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       Cette découverte aurait eu lieu à l'occasion de l'élargissement de la route de Bricquebosq en 1826. L'inscription,  gravée sur une plaque de schiste noir (ardoise dite de Siouville), se trouvait à l'intérieur d'un sarcophage en tuffeau contenant également des ossements enfouis sous la haie de l'église paroissiale.

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Il s'agit d'une épitaphe chrétienne :

 

BERTOVVI/NUS (H)ic R(REQUIESCIT)

(Ici repose Bertowinus)

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                                   Selon Nicetas Periaux, cette pierre aurait été confiée à l'époque par M. de Couville, maire de la commune,  à  Charles de Gerville. Elle est signalée en  1858 comme faisant partie de la collection de M. Feuardent libraire à Cherbourg ce qui pose la question de l'entrée de cette pièce au musée Liais estimée vers 1854 et indiquée comme provenant de la collection de Gerville...

Source :« Revue des sociétés savantes ; de la France et de l’étranger, publiée sous les auspices du ministre de l'instruction publique et des cultes »,Volume 4,1858, p.464 - https://www.google.fr/books/edition/Revue_des_societes_savantes_de_la_France/EXpl6EnZc-oC?hl=fr&gbpv=1&dq=bertowinus&pg=PA464&printsec=frontcover)

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Certains auteurs évoquent la sépulture de Saint Berthevin (IXe-Xe siècle) mais la tradition évoque une inhumation à Parigny, Lisieux et autres lieux...

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